[f° 255ter. au verso: 139/619. Feuillet détaché du carnet 237-255, qui occupe les folios 248-254v°. ]
[Recto. Partie gauche, au crayon.]
ayant en lui quelque chose comme la fuite + d'un rêve
[barré à la verticale; employé en II, 6, 5, f° 483]
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[à 180°]
G[wynplaine] entre - choses crépusculaires - Le maître des rôles sur le 2e sac de laine.- Montrer [?] les vieux lords, les excuser [?]. + + + à leurs places. Les nommer. Il n'y avait qu'un duc. Il y avait cinquante [?] barons. + + + + Les héritiers de pairie derrière le trône.
[Eléments de scénario pour II, 8, 4, f° 511]
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[Partie droite, à l'encre au-dessus d'un texte au crayon; suite du f° 252]
Les juifs n'avaient à Londres qu'une synagogue et devaient porter un chapeau jaune. Au 17e s. ils commençaient à s'en dispenser. [Bewerell, t. 4, p. 861]
Les asiles abondaient, surtout pour les banqueroutiers. C'étaient St James, White-Hall, Somerset, et la Savoye. Plus le quartier des monnaies. Chaque quartier avait son guet, watch, faisant la nuit sa ronde. Plus des lampes, avec de gros verres. L'incendie de 1666 avait fait poindre les compagnies d'assurance. Il y en avait deux. Cent messagers faisaient le service de la penny-post. Dans les faubourgs, qui envoyait la lettre payait un sou, et qui la recevait payait un sou. [p. 861-864]
[Verso. Partie gauche, au crayon.]
[à 90°]
Ursus [inadvertance pour "Homo", mais c'est Ursus qui parle] n'est pas un loup. C'est un chien perfectionné. Je + les chiens.
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Le chien, quelle drôle de bête, c'est sur sa langue qu'est sa sueur et dans sa queue qu'est son sourire.
[ces deux fragments sont barrés; employés en rédaction initiale au f° 432 (II, 6, 2) déplacée, in extremis, en II, 3, 2, f° 292.]
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[à l'encre, au-dessus du débuit du fragment qui précède:]
l'horizon monarchique
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[Partie droite, à l'encre au-dessus d'un texte au crayon:]
Il y avait une gazette paraissant toutes les semaines et donnant les noms des enfants baptisés et des personnes enterrées. On n'enregistrait pas les «enfants de ténèbres, qui naissent, mais ne sont point baptisés». Tel est [variante: "était"] le style des vénérables archives ["vénérables archives" corrige "registres"] de paroisses. [Bewerell, t. 4, p. 864-865]
Les rues étaient sales et boueuses, on s'en tirait par les gondoles. La vraie rue de Londres, c'était la Tamise. Il y avait du reste des carrosses de louage, avec chiffre.
Il y avait 3000 cafés. [p. 866]
Tel était le Londres qu'un contemporain qualifie «le siège et le trône de la véritable et honnête liberté». [p. 869-870]